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– LA MARQUE –

Pas le matin, parce que j’aime la nuit,
pour l’habiller de matières et créer des lumières de couleurs. Les motifs des abat-jour sont des photographies de matières vues dans la rue. Je rentre avec mon appareil photo dans le détail de ces choses, comme un projecteur d’imaginaire.

 

Entre art, design et artisanat, Pas le matin propose des lumières et des collections de visuels édités en séries limitées  (50 exemplaires). Il suffit de choisir sa lumière (en suspension, en applique, ou sur pied), de sélectionner son motif et sa couleur. Et on fait sa lumière !

Pas le matin, c’est pas trop tôt !

2005, le nom « pas le matin » me vient en nageant à la piscine. Je dépose le nom à l’INPI dans 7 catégories de produits (luminaire, textile, habillement, mobilier…). 2005-2015, j’y pense et j’y pense, puis j’oublie. 2015, je fais un stage pour apprendre à faire des abat jour. 2016, je me rends compte que je ne suis pas fait pour faire des abat jour. 2017, je suis dans une pépinière d’entreprise de la ville de Paris; j’ose enfin dessiner maladroitement les pieds de lampe que j’ai en tête, dont le losange suite à une visite du musée du Quai Branly où je repère les statues de « gardiens des reliquaires » du peuple Kota en Afrique. 2018, je fais le premier prototype en bois, qui me plaît à moitié. On me conseille de ne proposer que des visuels à vendre à des éditeurs et des industriels. Mais je veux faire des lampes ! Je fais dans la foulée un premier prototype en métal chez le spécialiste français des carcasses de luminaires, près de Chartres. 2018, je rencontre une abat jouriste dans l’Aube, Dorothée Lenoir, un joli nom pour faire des lumières. 2019, je rencontre Nicolas, un ferronnier dans le Berry. Je décide de refaire tous les modèles de pieds avec lui de façon 100% artisanale. Il m’apprend à faire les patines sur chaque pièce. 2020, en mars tout s’arrête avec le confinement. En mai je reprends tout. Crise ou pas crise, pas le matin verra le jour !